Originaire de Piracicaba, Marina Cypriano franchit une étape importante dans sa jeune carrière artistique en incarnant Felícia, la meilleure amie de Samir, le fils de Candinho, dans le nouveau feuilleton de 18 heures de Globo, ÊtaMundoMelhor!, dont la première aura lieu le 30 juin. Installée à Rio de Janeiro depuis le début de l’année pour réaliser son rêve de devenir actrice à la télévision, Marina a accumulé de l’expérience dans le cinéma, des partenariats publicitaires, des cours de théâtre et de chant, et se prépare déjà à relever des défis comme le doublage, démontrant ainsi sa polyvalence et son dévouement aux arts de la scène.
Vous avez quitté Piracicaba pour Rio de Janeiro très jeune, à la poursuite de votre rêve. Comment avez-vous vécu ce départ et ce changement radical à un si jeune âge ?
C’était un processus délicat. J’ai dû m’éloigner de mon père et de certains membres de ma famille, mais d’un autre côté, j’ai vraiment apprécié, sachant que j’avais déménagé pour réaliser un rêve. Et j’adore cette nouvelle étape.
Jouer dans un feuilleton télévisé de la chaîne Globo à 18 heures est une étape importante dans la carrière de nombreux artistes, surtout en incarnant un personnage principal. Comment avez-vous appris que vous incarneriez Felícia et qu’est-ce qui vous a le plus séduit chez elle ?
Je n’ai pas de mots pour exprimer ma gratitude d’avoir eu l’opportunité de jouer le rôle principal dans un feuilleton de Globo. Je suis très heureuse ! J’ai appris que j’allais incarner Felícia grâce à ma mère. Au début, je ne comprenais pas ce que serait ce personnage, mais avec le temps, je l’ai découvert et j’adore l’incarner. Ce que j’aime chez Felícia, c’est qu’elle est intelligente, qu’elle aime jouer au foot et être amie.
En plus de la télévision, vous avez également joué dans un long métrage sur l’esclavage et un court métrage à thématique sociale. À quoi pensez-vous lorsque vous êtes impliqué dans des histoires abordant des thèmes aussi forts ?
Ce sont des sujets extrêmement importants, et je finis par réfléchir à la façon dont ces questions sont fondamentales pour que nous puissions réfléchir aux questions sociales.
Vous êtes passionné(e) par plusieurs langages artistiques, comme le chant, la danse et même le doublage. Que vous apprennent chacun de ces domaines sur vous-même ?
Je suis heureuse parce que je me découvre comme une personne talentueuse, capable de faire plusieurs choses à la fois et de faire quand même ce que j’aime le plus : jouer la comédie.
Participer à des ateliers avec des artistes expérimentés et s’initier à l’art dès le plus jeune âge n’est pas une mince affaire. Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans ces moments d’apprentissage et vous motive à continuer à vous y consacrer autant ?
Ce qui m’inspire le plus, c’est d’être avec ces formateurs. J’apprends énormément et je quitte les cours avec l’envie d’en apprendre toujours plus. J’aime m’investir, car j’aime ce que je fais, et ce contexte me motive encore plus.
Pendant votre temps libre, vous aimez également créer des scénarios et réaliser des vidéos de théâtre et de danse. D’où vient cette envie de raconter des histoires à votre façon ?
Grâce à mes expériences avec mes parents. Mon père est musicien et a travaillé dans le milieu artistique pendant plusieurs années. J’ai commencé la danse, puis j’ai découvert d’autres talents en jouant à la maison. Je me suis filmée, puis je les ai regardées, et c’est ainsi que j’ai commencé à créer des scènes et des mini-séries. Je les ai filmées, réalisées et montées moi-même.
Vous travaillez en étroite collaboration avec de grands noms de la télévision et participez à un projet très attendu. Comment se sont déroulés ces échanges avec les autres acteurs et qu’avez-vous le plus appris en coulisses ?
Je suis très heureuse, car j’apprends beaucoup et c’est un échange formidable. J’ai l’impression de réaliser un rêve. En plus, rencontrer des artistes que je ne voyais qu’à la télévision et pouvoir maintenant les rencontrer en coulisses, c’est vraiment génial. Par exemple, je suis très heureuse de rencontrer Heloísa Périssé.
Malgré votre jeune âge, votre carrière témoigne déjà d’un grand dévouement et d’une passion pour les arts. Que rêvez-vous de vivre désormais , tant dans votre carrière que dans votre vie personnelle ?
Dans ma vie professionnelle, je rêve de continuer à me développer dans le domaine artistique. Et, dans ma vie personnelle, je souhaite pouvoir aider mes parents, qui croient tellement en moi.
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