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Início » Blog Band » Antonio G. Olyver mêle fantasy épique et conscience environnementale dans la trilogie « La Saga Draconienne »
Antonio G. Olyver
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Culture

Antonio G. Olyver mêle fantasy épique et conscience environnementale dans la trilogie « La Saga Draconienne »

2 de juillet de 20258 Mins Read
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Entre batailles ancestrales, pouvoirs élémentaires et révélations mystiques, la trilogie La Saga Draconienne, de l’écrivain Antonio G. Olyver, originaire du Rio Grande do Sul , raconte l’histoire de Sophie Dupont, une jeune femme qui découvre qu’elle fait partie des Drakkars , descendants de dragons légendaires. Détentrice de l’élément rare de la Lumière, elle devient un acteur clé pour empêcher des forces emprisonnées depuis des millénaires de se réveiller et de provoquer l’extinction de l’humanité. Mêlant mythologie, aventure et critique environnementale, l’ouvrage plonge le lecteur dans un univers où sauver le monde exige, avant tout, de découvrir qui l’on est vraiment.

En découvrant ses pouvoirs et ses véritables origines, Sophie se retrouve confrontée au poids des responsabilités et du danger. Comment avez-vous vécu l’élaboration d’un personnage qui, malgré son jeune âge, doit faire des choix aussi décisifs pour le destin du monde ?

Créer Sophie a été un processus lent, telle une graine qui germe au milieu du chaos. Elle est jeune, certes, mais elle porte en elle un fardeau plus grand qu’elle-même ; ce qui l’oblige à mûrir non par choix, mais par nécessité, au cœur d’un tourbillon d’événements. Pour moi, il était essentiel de trouver un équilibre réel et crédible entre la fragilité d’une personne encore en pleine maturation et la force latente de celle née pour une grande cause. Cela m’a permis d’explorer une croissance organique, où la douleur, l’amour et les décisions façonnent plus que toute puissance surnaturelle.

La Saga Draconienne met en scène un protagoniste doté de l’élément Lumière, un élément rare et puissant. Que représente cet élément pour vous, en termes symboliques ? Comment reflète-t-il des questions plus profondes sur l’identité, l’équilibre ou le sens ?

Dans la Saga, l’Élément Lumière est l’union (ou l’origine) de tous les Éléments ; cependant, il s’agit en réalité de quelque chose de plus profond. Pour moi, la Lumière n’est pas seulement clarté. C’est conscience. C’est le pouvoir de se voir soi-même et les autres avec lucidité, même dans les ombres les plus denses. Donner cet élément à la protagoniste était aussi une invitation à la réflexion : Sophie est appelée à illuminer non seulement le monde qui l’entoure, mais aussi les recoins oubliés d’elle-même et de ses compagnons. Elle porte la responsabilité de révéler les vérités, d’équilibrer les extrêmes et, surtout, d’apprendre que la lumière la plus intense projette aussi les ombres les plus denses. Au début, elle craint l’Élément lui-même, la découverte elle-même, le changement lui-même, mais avec le temps, elle comprend la puissance de ce changement s’il est pleinement accepté.

univers des Drakkars mêle mythologie, fantasy et thèmes réels, comme la destruction environnementale. Comment avez-vous décidé d’aborder des sujets aussi actuels à travers un récit fantastique ?

La fantasy est un prisme qui magnifie la réalité. J’ai toujours perçu le monde à travers des yeux symboliques, et la destruction environnementale, par exemple, n’est pas seulement une crise écologique ; elle reflète la rupture de l’essence humaine avec son origine naturelle. J’ai choisi d’aborder ces questions car je crois que la fantasy ne doit pas être seulement une échappatoire. Elle peut être (et doit peut-être toujours être) un miroir magique, une façon de faire ressentir au lecteur ce qu’il a peut-être cessé de voir de ses propres yeux. Et, pour moi, la littérature, qu’elle soit fictionnelle ou non, doit améliorer le lecteur d’une manière ou d’une autre. J’espère toujours que mon lecteur termine le livre un peu plus humain qu’au début. C’est pourquoi mes livres ont aussi, par essence, pour fonction d’enseigner des vertus et d’encourager la réflexion.

Antonio G. Olyver
Antonio G. Olyver

Adrian, Alexa , Tiamat et tant d’autres personnages portent en eux des traumatismes, des dilemmes et des ambivalences. Comment conciliez-vous l’action et le rythme du roman fantastique avec la profondeur émotionnelle de chacun d’eux ?

Pour moi, les personnages sont comme des expressions de l’âme humaine. Adrian, Alexa , Tiamat , Aimée, Helena, et même la puissante Chaerin … chacun d’eux représente des forces conflictuelles, des traumatismes non résolus, des amours incomprises. Helena, par exemple, qui est de l’Élément Feu, un Drakkar Rouge , souffre gravement de l’absence et du manque de reconnaissance de son père, son héros. Je n’ai jamais voulu qu’ils soient de simples éléments de l’intrigue, ils sont l’histoire elle-même. Je pense que le plus grand secret est de faire en sorte que chaque scène d’action soit également chargée d’émotion. Qu’un combat soit à la fois une bataille contre le monde et contre les fantômes eux-mêmes. Et pour cela, j’écris à la première personne. J’aime mettre le lecteur à la place du personnage, lui faire ressentir chaque émotion. J’aime manipuler les émotions du lecteur en ce sens.

Vous avez grandi en rêvant de dessiner des mangas et avez trouvé un nouvel exutoire à votre créativité dans l’écriture. Quels éléments de la culture japonaise, comme les animes ou les jeux de rôle , influencent encore votre façon de construire des intrigues, des personnages ou des conflits ?

La culture japonaise a façonné mon imaginaire depuis mon plus jeune âge. Le sens de l’honneur, l’amitié, la justice, le courage, les dilemmes moraux, les archétypes profonds qui imprègnent les anime, les jeux de rôle et le tokusatsu (principalement), tout cela est ancré en moi. Des animes comme Les Chevaliers du Zodiaque, Sailor Moon, Lune ou Yuyu Hakusho et des tokusatsu tels que Changeman , Flashman et Kamen Rider ont influencé la construction des liens entre les personnages, les arcs de rédemption et même l’esthétique des affrontements. Cette influence est à la base de mon écriture, d’où émergent des émotions brutes et des vertus bien définies, et, bien sûr, des scènes d’action à couper le souffle.

Sophie et les Drakkars sont confrontés non seulement à des conflits externes, mais aussi à des dilemmes internes qui remettent en question leurs propres croyances. Pourquoi pensez-vous qu’il est si important d’explorer ce conflit interne, même dans les récits fantastiques ?

Ah, c’est une excellente question, et la réponse est intéressante, car chaque dragon que nous affrontons à l’extérieur a son pendant en nous. Si la fantasy ne touche pas le cœur humain, elle devient un spectacle vide, dénué de sens et inutile. Le conflit intérieur est ce qui donne du poids aux choix. C’est ce qui transforme un héros en une personne réelle, et une personne ordinaire en un héros. J’aime montrer que même les plus puissants tremblent, hésitent et font des erreurs. Car c’est ce que le lecteur perçoit en eux, et c’est de là que naît le véritable apprentissage.

Avec un récit qui questionne la relation entre l’être humain et la planète, vous proposez des réflexions sur la justice et le déséquilibre. Quel message ou avertissement souhaiteriez-vous que les lecteurs retiennent après avoir plongé dans cet univers ?

La Saga Draconienne est avant tout une complainte et un plaidoyer. Une complainte sur ce que nous perdons, au-delà des forêts, des rivières, des espèces, de l’harmonie, mais aussi sur le sens même de l’être humain ; et un appel à l’humanité pour qu’elle se réveille avant qu’il ne soit trop tard. Je souhaite que le lecteur quitte l’histoire en se demandant : « Quel héritage est-ce que je laisse ? Quelles forces intérieures dois-je réveiller pour protéger ce que j’aime ? Pour aller de l’avant ? » Pour moi, la justice n’est pas une punition. C’est une restauration. C’est une reconnexion. Et cela revient à plusieurs reprises au lecteur tout au long de La Saga Draconienne, sur la façon de renouer avec la vie, avec la nature, avec le sens de l’existence.

Publier un livre de fantasy au Brésil reste un défi, surtout avec un univers aussi unique que le vôtre. Comment avez-vous vécu ce parcours d’auteur national de fantasy, et quels conseils donneriez-vous à ceux qui rêvent de suivre cette voie ?

En toute liberté poétique : c’est un chemin semé d’embûches ! Mais chaque lecteur enchanté, chaque message disant « Je me suis reconnu dans cette histoire », sachant que la Saga des Dragons a plus de 90 % de critiques 5 étoiles, cela vaut plus que n’importe quelle récompense. Le Brésil est encore en train de s’éveiller au pouvoir de la fantasy créée ici, avec notre voix, notre écriture, nos symboles. Le conseil que j’ai toujours suivi, et que je transmets naturellement, est : persévérez (je sais que cela peut paraître un cliché répétitif, mais on le répète sans cesse car c’est la pure vérité). Étudiez. Peaufinez votre écriture. Mais surtout, croyez en la valeur de votre vision du monde. Construisez votre univers comme on construit un temple, un lieu où chacun peut entrer et se sentir chez lui. Croyez en votre histoire avant tout le monde.

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