Le rôle du chasseur de têtes à l’ère où les compétences et le sens du projet remplacent les diplômes et l’expérience.
Le marché de l’emploi connaît une transformation discrète mais profonde : les entreprises délaissent la simple recherche de CV volumineux au profit de professionnels dotés de compétences concrètes, d’une grande adaptabilité et d’une vision collaborative. C’est l’avènement du recrutement par compétences, une tendance mondiale qui redéfinit les critères de sélection et repositionne le rôle du chasseur de têtes au sein de l’écosystème des entreprises.
Selon le rapport « L’avenir du travail 2025 » du Forum économique mondial, des compétences telles que l’esprit critique, l’empathie, la flexibilité et la formation continue sont devenues plus importantes que les diplômes traditionnels. Ce mouvement reflète un changement structurel : d’un recrutement axé sur le parcours professionnel, on passe à un processus qui identifie le potentiel.
La chasseuse de têtes Raquel Mozzer intègre ce nouveau contexte en s’attachant à interpréter avec précision les enjeux humains et stratégiques. Forte de plus de dix ans d’expérience dans les ressources humaines, notamment dans le recrutement et la sélection, elle a travaillé pour des entreprises ayant connu une croissance rapide de leurs équipes. Cette expérience lui a permis de comprendre que l’efficacité du recrutement dépend moins du filtrage des CV que de la compréhension des compétences qui sous-tendent la culture et les résultats.

Pour elle, le processus de sélection actuel exige un équilibre entre analyse technique et sensibilité – une combinaison qui redonne une dimension humaine aux décisions d’embauche. Dans ce modèle, le chasseur de têtes cesse d’être un intermédiaire et devient un interprète des relations : une personne capable de traduire les besoins d’une entreprise en profils qui, en plus d’être qualifiés, partagent des valeurs et une vision commune.

Dans un marché en constante évolution, où les métiers et les outils se réinventent à un rythme accéléré, l’avenir du travail semble de plus en plus déterminé par la capacité d’apprendre, de s’adapter et de collaborer. C’est là que la perspective analytique et humaine de professionnels comme Raquel Mozzer s’avère essentielle pour construire des équipes véritablement durables.
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