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Início » Blog Band » Zen Moraes et Marcos Mohan lancent « Ganesha Sharanam Mantra Dance » et inaugurent le projet Mantra Bossa Lounge
Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)
Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)
Divertissement

Zen Moraes et Marcos Mohan lancent « Ganesha Sharanam Mantra Dance » et inaugurent le projet Mantra Bossa Lounge

29 de septembre de 20256 Mins Read
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Le jour même où des millions de personnes célébraient la fête dédiée à Ganesh en Inde, le chanteur Zen Moraes et le multi-instrumentiste Marcos Mohan ont sorti le single « Ganesha Sharanam Mantra Dance », désormais disponible sur les plateformes numériques. Ce titre, accompagné d’un clip tourné à São Paulo et en Inde, marque le début du projet Mantra Bossa Lounge, qui allie tradition spirituelle et sonorités contemporaines, fusionnant mantras anciens et influences de la musique populaire brésilienne.

Votre sortie coïncide avec la fête de Ganesh, une journée très spéciale en Inde. Comment avez-vous préparé cette rencontre entre spiritualité et musique à cette date symbolique ?

Nous avons délibérément choisi de le sortir ce jour-là. D’ailleurs, la chanson « Ganesha » a été la première que nous avons enregistrée en studio, précisément en raison de l’importance que nous accordons au rituel de Ganesh, car il est toujours le premier à être invoqué.

Le projet « Mantra Bossa Lounge » allie des mantras anciens à des éléments de musique brésilienne moderne. À quel moment avez-vous senti que cette fusion pouvait créer quelque chose de vraiment unique ?

Nous avons reçu un accueil très positif lors de notre interprétation en concert en Inde. Le public était très international, venant de différents continents. La musique brésilienne, avec notre style de chant et de jeu, est très attrayante et contribue à la réputation du Brésil comme un pays à la culture vibrante, avec un peuple joyeux et chaleureux. L’étude du yoga et le chant des mantras étant très répandus en Inde et attirant des personnes du monde entier, nous avons compris que réunir ces deux mondes serait avant tout un plaisir pour nous et, en même temps, un atout apprécié du public.

Vous avez présenté cette œuvre au Brésil et en Inde. Qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans les différentes réactions du public dans chaque pays ?

Au Brésil, nous nous produisons généralement lors de retraites de yoga et de centres d’étude et de pratique. Le public est guidé, chacun chante et se met dans l’ambiance. En Inde, en plus de nos concerts dans certains ashrams, nous chantons aussi en plein air, assis au bord du Gange. C’était exceptionnel de voir des gens de tous horizons se rassembler autour de nous et apprécier la musique. Les Indiens adorent demander des autographes et prendre des selfies, ce qui était très gratifiant.

Le clip présente des scènes indiennes, comme le Gange, et met également en scène des danseurs issus d’un projet social. Quel impact personnel avez-vous eu en enregistrant et en partageant ces expériences dans la chanson ?

Les danseurs sont mes préférés ! À chaque fois que je vais en Inde du Sud, je les côtoie, et les avoir dans le clip est un véritable honneur. Je sais combien il est difficile pour eux de se consacrer à la danse, car leur communauté d’origine est confrontée à de nombreuses contraintes financières. Pour eux, la danse est un moyen de retrouver leur dignité, et ils s’y consacrent corps et âme. L’un des objectifs de cette œuvre musicale est aussi de faire connaître l’Inde au monde. L’enregistrement là-bas était une façon d’exprimer notre admiration pour ce pays et la spiritualité si présente dans ses traditions, auxquelles nous nous identifions profondément.

Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)
Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)

Votre son combine guitare acoustique, percussions brésiliennes et instruments traditionnels indiens comme le sarod et l’harmonium. Comment avez-vous trouvé l’équilibre entre ces deux langages musicaux en studio ?

Je trouve formidable que nous disposions aujourd’hui d’outils de production musicale qui nous permettent d’unir différents univers sonores. Notre inspiration remonte bien plus loin, à l’époque où nous écoutions des enregistrements de Ravi Shankar et George Harrison jouant ensemble dans les années 1970. À Delhi, nous achetions nos instruments indiens au même luthier qui fabriquait les leurs. Cette histoire est à elle seule une belle histoire de tradition familiale, de lignée musicale et de respect pour le son et les artistes de la musique classique indienne. Un jour, en présence de plusieurs pandits, maîtres de la musique indienne, nous avons joué « The Girl from Ipanema » et « Wave » de Tom Jobim à la guitare. C’était émouvant de ressentir le respect et l’affection qu’ils nous témoignaient. Cela prouve que la bonne musique n’a pas de frontières et appartient au monde entier. Mettre tout cela en pratique en studio pour créer cet album a été un processus de mise en pratique de notre musicalité combinée à nos expériences.

Vous mentionnez que la musique peut être appréciée aussi bien pendant les pratiques de méditation que dans des situations quotidiennes, comme un voyage en voiture. Quels sentiments ou états espérez-vous susciter chez les gens qui écoutent cette œuvre ?

Tout d’abord, nous souhaitons éveiller un état de joie. Et, comme il s’agit d’un mantra, qui est aussi une prière, notre intention est d’apporter légèreté et connexion profonde à la spiritualité, quelle que soit la religion. Je crois que toutes les prières et toutes les bonnes intentions sont tout à fait valables et nécessaires aujourd’hui. Quelles que soient la langue ou les particularités de chaque tradition spirituelle, au cœur de chaque être, l’aspect divin est le même.

Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)
Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)

Ce projet honore des divinités de différentes traditions, de Ganesh à Jésus-Christ. Que représente cette pluralité spirituelle pour vous, artistes et individus ?

Je vois Dieu sous de nombreux noms et formes. Chaque culture possède sa propre langue, ses propres traditions et ses propres façons d’approcher le Divin. Chanter ces noms sacrés est, pour nous, un acte profondément spirituel. Unir notre passion pour la musique à un but supérieur a toujours été notre objectif.

Si la musique n’a pas de frontières, comme vous le dites vous-mêmes, quel est votre plus grand rêve avec cette œuvre en termes d’atteindre et de se connecter avec les publics du monde entier ?

Notre plus grand souhait est que cette chanson soit partagée, que de nombreuses personnes chantent les mantras et que la puissance de ces prières soit amplifiée à travers le monde.

Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)
Zen Moraes e Marcos Mohan (Anshul Sharma)

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Zen Moraes
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