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Início » Blog Band » Jonatas Aragão lance « Max Oliver : Protecteur des Galaxies », un voyage épique entre fantasy, science-fiction et critique sociale
Jonatas Aragão
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Culture

Jonatas Aragão lance « Max Oliver : Protecteur des Galaxies », un voyage épique entre fantasy, science-fiction et critique sociale

21 de août de 20257 Mins Read
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Inspiré par les classiques de la culture geek des années 1990 et 2000, l’écrivain Jonatas Aragão présente Max Oliver : Protecteur de la Galaxie, une œuvre qui suit la transformation d’un adolescent modeste en héros intergalactique après sa fusion avec une intelligence artificielle extraterrestre. Mêlant dimensions multiples, paradoxes temporels et références à des œuvres comme Dragon Ball, X-Men Revolution et Ben 10, ce roman dépasse la fantasy et la science-fiction en abordant les dilemmes de la jeunesse, les inégalités sociales et le pouvoir de la résilience, s’imposant comme un récit mêlant nostalgie, aventure et réflexion.

L’origine du héros – Max Oliver est né d’une rencontre improbable avec une intelligence artificielle. D’où vous est venue l’inspiration pour créer un protagoniste incarnant à la fois l’humanité et la technologie ?

La création du personnage de Max Oliver est née de diverses inspirations que j’ai eues en regardant des films d’animation enfant, la principale étant Ben 10, dont le protagoniste m’a beaucoup inspiré. De plus, le personnage s’inspire d’une personne réelle, malheureusement disparue très jeune, mais dont la gentillesse, l’humilité et la personnalité ont été un modèle. Max Oliver a été créé pour dépeindre les difficultés rencontrées par les habitants du Bronx, à New York, un quartier marqué par la violence, le manque d’opportunités et la négligence sociale et policière. En plaçant le personnage dans ce contexte, j’ai cherché à transmettre une dimension humaine, montrant que, même dans des situations extrêmement difficiles, il existe encore des personnes généreuses qui vivent humblement et dignement, gardant espoir et bonheur malgré l’adversité.

Entre fiction et réalité – Malgré son univers épique et intergalactique, le livre présente des dilemmes profondément humains, tels que les inégalités sociales, l’amitié et le passage à l’âge adulte. Comment avez-vous trouvé le juste équilibre entre fantasy et critique sociale dans l’élaboration du récit ?

Pour moi, il a toujours été essentiel que Max Oliver soit plus qu’un simple héros au cœur de batailles intergalactiques. Dès le départ, je souhaitais que l’œuvre reflète également de véritables dilemmes humains, tels que les inégalités sociales, la perte, le passage à l’âge adulte et l’importance de l’amitié. L’équilibre s’est imposé naturellement, car j’ai utilisé la fantasy comme outil pour approfondir ces questions. Le cadre cosmique et les menaces universelles servent de métaphore aux défis quotidiens auxquels de nombreuses personnes sont confrontées. Ainsi, en suivant ces luttes épiques, le lecteur est également amené à réfléchir à la réalité sociale. Le Bronx, par exemple, est un symbole de cette critique, représentant des lieux marginalisés. Ainsi, la fiction ne s’éloigne pas de la réalité, mais la sublime.

Hommage et héritage – Ce livre a été créé en hommage à un ami d’enfance. Comment ce souvenir émotionnel a-t-il influencé le parcours de Max et le message que vous souhaitez transmettre aux lecteurs ?

Le doux souvenir de cet ami d’enfance a été l’un des piliers de la création de Max Oliver. Il était généreux, humble et toujours prêt à aider, même face aux difficultés, et je voulais transmettre ces qualités au personnage. Cette inspiration personnelle a donné de la profondeur au parcours de Max, faisant de lui non seulement un héros, mais aussi le reflet de la force qui réside chez les gens ordinaires. L’œuvre rend ainsi hommage à la vie courte mais remarquable de cet ami. Chaque décision prise par Max, chaque acte de courage et de compassion, porte en lui une part de ce souvenir. Mon objectif est que les lecteurs comprennent que la gentillesse et l’humanité peuvent être aussi héroïques que d’affronter des ennemis cosmiques. Plus que de l’action et de l’aventure, le message est celui d’un héritage et d’espoir.

Sarah Medellín Blake et les barrières sociales – Le personnage brise les conventions sociales en se rapprochant de Max. Quelle était votre intention en plaçant cette question des différences socio-économiques au cœur de ce récit pour jeunes adultes ?

Dans le cas de Sarah Medellín Blake, mon intention était de créer un contraste direct avec Max Oliver. Bien qu’issu d’un milieu modeste du Bronx, Sarah appartient à l’une des familles les plus puissantes des États-Unis, à la tête d’un empire économique qui contrôle tout, des biens de première nécessité aux ressources militaires. Cependant, contrairement à sa famille fière et élitiste, Sarah est une jeune femme humble et empathique qui préfère fréquenter les gens ordinaires. Son choix d’aller dans une école publique, où elle rencontre Max, symbolise sa rupture avec les normes de la classe supérieure. Cette relation démontre que la véritable richesse réside dans les valeurs humaines, et non dans la richesse. Le message est que l’amitié et l’amour peuvent surmonter toutes les barrières sociales.

Jonatas Aragão
Jonatas Aragão

Le pouvoir des références geek – Vous citez des inspirations comme Dragon Ball, Justice League et Ben 10. Laquelle de ces références a été la plus décisive dans la construction de l’univers de Max Oliver, et pourquoi ?

Parmi toutes les références geek qui ont inspiré l’univers de Max Oliver, la plus déterminante a sans aucun doute été Dragon Ball. Depuis mon enfance, j’ai toujours été profondément attaché à cette œuvre et à celle d’Akira Toriyama, qui m’a profondément marqué. La manière dont il a étendu son récit au-delà de la Terre, explorant d’autres planètes et civilisations, a été essentielle pour que j’imagine quelque chose de similaire dans ma propre création. Cette influence est déjà perceptible dans le tome 1, mais mon intention est qu’au fil des 12 volumes, cette expansion cosmique devienne encore plus évidente. Dragon Ball m’a montré qu’une œuvre peut être épique, mais aussi humaine. C’est ce qui a permis à Max Oliver d’être unique et vibrant.

Le méchant et ses ombres – Táramos, le dictateur intergalactique, cherche un artefact capable de maintenir la vie de tous les êtres. Croyez-vous que les bons méchants sont essentiels pour révéler les vertus des héros ?

Oui, je crois que de bons méchants sont essentiels pour révéler les vertus des héros. Dans le cas de Táramos, il incarne la tyrannie, l’ambition débridée et l’oppression, contrastant directement avec les valeurs de Max Oliver. Plus la présence du méchant est sombre et menaçante, plus les qualités du héros, comme le courage, l’empathie et le sacrifice, brillent. Táramos n’est pas seulement un ennemi redoutable, mais aussi un miroir déformé de ce que Max pourrait devenir s’il choisissait la mauvaise voie. Cette dualité renforce l’humanité du protagoniste et l’importance de ses choix. Pour moi, sans un grand méchant, pas de grand parcours héroïque.

Processus créatif et dépassement de soi – Vous avez commencé à développer ce travail pendant une période de difficultés financières. Comment l’écriture est-elle devenue un processus de résilience personnelle ?

L’œuvre Max Oliver est née dans un sous-sol, pendant l’une des périodes les plus difficiles de ma vie, marquée par des contraintes financières et personnelles. L’écriture est alors devenue un refuge et une forme de résilience, me permettant de transformer la douleur et l’incertitude en créativité. Chaque page écrite dans cet espace simple était aussi un acte de dépassement et d’espoir. En donnant vie à ce personnage, je me suis aussi renforcée, trouvant la motivation de ne pas abandonner mes rêves. Le processus créatif m’a montré que, même dans l’adversité, il est possible de construire quelque chose de grand. Plus qu’un livre, cette œuvre représente mon propre cheminement vers la résilience.

De la campagne à la galaxie – Vous avez quitté Jacobina, Bahia, pour chercher de nouvelles opportunités à São Paulo. Ce voyage de déplacement et de réinvention a-t-il également marqué l’esprit aventureux et rêveur de Max ?

Oui, le parcours qui a mené Max Oliver à quitter Jacobina, Bahia, pour chercher des opportunités à São Paulo se reflète profondément dans son esprit d’aventure. Dès mon plus jeune âge, j’ai réalisé que ma ville natale offrait peu de perspectives d’avenir, ce qui m’a motivé à explorer de nouvelles voies. La ville de São Paulo et ses influences culturelles ont été déterminantes pour élargir mes horizons. En créant Max Oliver, en écrivant dans un sous-sol avec un carnet et des stylos de couleur, j’ai eu le sentiment de transformer mes expériences en quelque chose de plus grand. Transposer ces idées sur un vieux téléphone portable a marqué le début d’un projet que je porte avec fierté aujourd’hui. Cette expérience de déplacement et de réinvention inspire la personnalité rêveuse et résiliente du personnage. Max possède le même courage que ceux qui doivent se réinventer pour réaliser leurs rêves.

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